Juillet 2013

Le mot du secrétaire n°89

 

Juillet – Aout 2013

 

Bien chers lecteurs,

Ca y est ! C’est l’été. En-fin ! L’astre du ciel chante et les oiseaux brillent enfin de tous leurs feux. Enfin, cela réchauffe nos cœurs. En ce qui nous concerne, notre mois de juin fut bien rempli et nous fûmes très occupés dans l’hexagone, en Belgique où nous avons retrouvé nos amis de Ligny et à Monaco où nous étions invités pour une soirée privée. Quelques mots viendront égayer notre journal et relater ces événements dont nous nous régalons.

Mais aussi, depuis notre mémorable prestation à Uffholtz, devant le tout Uffholtz réuni, l’hiver dernier, j’avais envie de préparer un numéro dédié au train, cette arme cher à Jean-François, lui-même ancien « tringlot ». C’est chose faite puisque dans ces quelques pages, vous trouverez la lettre de baptême du train ainsi qu’une rubrique historique spécialement dédiée. J’ai pris le temps d’éplucher toute la correspondance de not’Sire et mise en ligne depuis des années pour finir par trouver ce que je cherchais.

Vous trouverez également nos rubriques habituelles avec notamment l’éphéméride du bicentenaire et le lexique des termes musicaux qui entame dans ce numéro : la lettre « M » comme Maliverney ou Michel, Mean-Maurice, Mistophe, Mistelle ou Mynthia ou Mascal ; mais « M » également comme ce macaque mâle maboul qui mordit le macareux de Macédoine sans mâcher dans le mâconnais, près de Mâcon même. Ce macaque macrocéphale macula la marre de Madeleine. Mais Madeleine, normalement mère miséricordieuse, madone tout en madras, fit un malstrom avec sa main dans la marre maculée, mouillant le macaque malappris et le maquillant magistralement de magenta comme une magicienne. Puis, Madeleine, un magazine à la main, en fit un maillet et, maîtresse d’elle-même, mortifia le malandrin. Mal-en-point, le malingre malfaiteur malhonnête avait mal-jugé son méfait. Malmené méchamment par la mémé, le malotru sans manière retourna voir sa maman ou sa mémé quand Madeleine lui montrait le majeur de sa main moins mou que les autres doigts. Voilà, ça, c’était pour bien expliquer la lettre « M », la 13e de l’alphabet, consonne nasale occlusive bilabiale, juste entre L et N.

Mis à part ces imbécillités, notre petite troupe est, je le sais bien, bien vivante et dynamique. La vingtaine de membres qu’elle regroupe, constitue une entité connue et reconnue tant en Alsace qu’en Allemagne, en Belgique, en Suisse, à Monaco et en Italie voire même aux Pays-Bas où les sujets du prince Willem-Alexander nous sollicitèrent à plusieurs reprises.

Par nos actions, par notre comportement, il me semble que nous répondons parfaitement à l’image que nous souhaitons donner en participant non seulement au prestige de notre Histoire mais aussi au renom de ce que nous représentons par la qualité chaque fois avérée de nos prestations. C’est comme cela que je vois les choses.

 Campagne